Termes de recherche populaires :

Préface

Dans le rapport de cette année, je tente de défendre quatre points majeurs :

Premièrement, le contexte budgétaire des cinq dernières années a entraîné une érosion dévastatrice du service aux contribuables, nuisant aux contribuables individuellement et collectivement ;

Deuxièmement, le manque de contrôle efficace de l’administration et du Congrès, conjugué à l’échec de l’adoption d’une législation sur les droits des contribuables, a érodé les protections des contribuables adoptées il y a 16 ans ou plus ;

Troisièmement, l’effet combiné de ces tendances remodèle l’administration tributarioe américaine d’une manière qui n’est pas positive pour la conformité tributarioe future ni pour la confiance du public dans l’équité du système tributario ; et

Quatrièmement, cette baisse peut être corrigée si le Congrès investit dans l’IRS et le tient responsable de la manière dont il applique cet investissement.

De plus, je crois que nous avons besoin d’une réforme tributarioe fondamentale, le plus tôt possible, afin que l’ensemble du système n’implose pas. Bien que le rapport de cette année ne se concentre pas sur la réforme tributarioe, je recommande une réforme tributarioe dans mes rapports et dans mes témoignages au Congrès depuis de nombreuses années.

« L’érosion de la confiance des contribuables est un problème encore plus grave que l’érosion des services rendus aux contribuables, car avec un financement adéquat, la baisse des services rendus aux contribuables peut être inversée. Ce n’est pas le cas de la perte de confiance : une fois perdue, la confiance met beaucoup de temps à être regagnée. Pour un contribuable dont la confiance a été ébranlée, chaque échec de l’IRS à répondre aux attentes fondamentales (par exemple, répondre au téléphone…) confirme la conviction qu’on ne peut pas faire confiance à l’IRS.

 

ARC 2014