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Recommandations au Congrès

Le rapport annuel au Congrès comprend des recommandations concernant de nouvelles lois tributarios fédérales ou des modifications aux lois actuelles.

Le National Taxpayer Advocate (NTA) accorde une grande priorité à la collaboration avec les comités de rédaction tributarioe du Congrès. En plus de soumettre des propositions législatives dans chaque rapport annuel, la NTA rencontre régulièrement les membres du Congrès et leur personnel et témoigne lors d'audiences sur les problèmes rencontrés par les contribuables afin de donner au Congrès l'occasion de recevoir et de prendre en compte le point de vue des contribuables.

Recommandations au Congrès

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Impôt minimum alternatif : abroger définitivement

L’impôt minimum alternatif (AMT) n’atteint pas son objectif initial : garantir que les contribuables fortunés paient au moins une partie de l’impôt. Selon une projection, environ 1,000 2013 millionnaires ne paieront aucun impôt fédéral sur le revenu en XNUMX. L'AMT pénalise les contribuables à revenu moyen qui ont des enfants, se marient ou paient des impôts nationaux et locaux, et est inutilement compliquée et onéreuse, même pour ceux qui n'y sont pas assujettis. à cela. De nombreux contribuables doivent remplir un long formulaire pour découvrir qu’ils ne doivent finalement que peu ou pas d’AMT.

Pour empêcher les personnes à revenus élevés de réduire leurs taux d’imposition, le Congrès a compliqué le code des impôts et pénalisé les contribuables qui vivent dans des États à tributarioité élevée ou qui ont des enfants. Le Congrès devrait abroger définitivement l’AMT.

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Demandes de remboursement : élargir les délais de dépôt

L'IRC suspend le délai de demande de remboursement lorsqu'un contribuable peut démontrer qu'il était financièrement handicapé. Cela ne protège pas les contribuables qui n’ont pas la capacité de déposer une demande de remboursement. Pour être admissible, le contribuable doit avoir une déficience physique ou mentale « médicalement déterminable », ce qui ne donne pas toujours à l’IRS les informations les plus précises et les plus utiles. Un contribuable qui reçoit régulièrement des conseils et un traitement auprès d'un psychologue agréé ou d'un travailleur social ne peut pas soumettre une lettre de l'un ou l'autre de ces professionnels, même s'il connaît mieux le cas. Cela exige également que le contribuable soit incapable de gérer ses affaires financières en raison d’une déficience physique ou mentale. Ces exigences ont conduit l'IRS à rejeter des preuves par ailleurs convaincantes et à refuser l'allègement aux contribuables.

La NTA recommande au Congrès de modifier l'IRC pour prévoir qu'une personne est financièrement handicapée lorsqu'elle présente une déficience physique ou mentale, déterminée par un professionnel de la santé ou de la santé mentale agréé, qui limite matériellement la gestion de ses affaires financières par la personne.

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Crédit d’impôt sur les primes : abaisser le seuil d’abordabilité

L'ACA offre un crédit d'impôt sur les primes pour subventionner l'assurance achetée sur les bourses du marché lorsque la couverture est jugée inabordable.

Un régime est considéré comme inabordable (et donc un contribuable est admissible au crédit) si la cotisation de l'employé est supérieure à 9.5 % du revenu du ménage. Cependant, ce seuil d'abordabilité de 9.5 % est toujours basé sur le coût d'un régime autonome, quel que soit le type de couverture dont le contribuable a besoin. Si un contribuable a besoin d'une couverture familiale, la contribution de l'employé pourrait représenter près de 50 % du revenu du ménage – mais les dispositions de l'ACA considèrent que ce montant est abordable à 50 % – et le contribuable n'obtient pas le crédit, puisque l'abordabilité est basée sur le coût d'un régime autonome. .

La NTA recommande au Congrès de clarifier que le seuil d'abordabilité de 9.5 % concerne le type d'assurance dont le contribuable a besoin, qu'il s'agisse d'une couverture personnelle ou familiale, et de ne pas baser l'abordabilité dans tous les cas sur un plan personnel uniquement.

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Interdiction de l'EITC pendant deux ans : l'IRS devrait assumer la charge de la preuve

L'IRC autorise l'IRS à interdire aux contribuables de réclamer l'EITC pendant deux ans si l'IRS détermine qu'ils ont demandé le crédit de manière inappropriée. L'IRS ignore souvent les exigences légales pour imposer l'interdiction, ignore les directives de son propre avocat en chef et contourne ses propres garanties procédurales pour imposer l'interdiction. Pour la population vulnérable des contribuables à faible revenu qui sont par ailleurs éligibles à l’EITC, être privé du crédit pendant deux ans peut être une sérieuse épreuve.

Un contribuable peut demander à la Cour tributarioe de réviser l'interdiction, mais il n'est pas clair qui supporte la charge de la preuve. Nous considérons qu'il est injuste de demander à un contribuable de prouver que l'IRS a imposé l'interdiction de manière inappropriée.

La NTA recommande de modifier l'IRC pour clarifier que l'IRS a la charge de la preuve lorsqu'il propose d'imposer l'interdiction de deux ans de réclamer l'EITC.

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Rapports sur les frais de scolarité : autoriser la correspondance du NIF par les collèges

Bien que le code des impôts exige que les collèges et les universités déposent auprès de l'IRS des rapports d'information reflétant les frais de scolarité des étudiants, ces établissements d'enseignement ne sont pas autorisés à vérifier les numéros d'identification tributarioe (NIF) auprès de l'IRS avant de procéder au dépôt. Les collèges et universités doivent s’appuyer sur les informations sur les étudiants – et non sur la vérification de l’IRS – et peuvent s’exposer à des pénalités allant jusqu’à 1.5 million de dollars en cas d’erreur.

La NTA recommande d'autoriser l'IRS à alerter les collèges en cas d'inadéquation afin qu'ils puissent résoudre les problèmes avec les étudiants avant de déposer des rapports d'information. Cette recommandation réduit le fardeau et le travail inutiles pour les établissements d'enseignement éligibles, l'IRS et les contribuables.

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