Une veuve s'est adressée à TAS pour obtenir de l'aide parce que l'IRS essayait de prélever sur ses cotisations de sécurité sociale et que cela lui causerait des difficultés financières. Le montant dû à l'IRS était dû aux charges sociales de l'entreprise de son mari décédé, qui avait fermé ses portes. La contribuable a déclaré qu'elle avait vendu sa maison et payé ce qu'elle pouvait, mais qu'elle vivait désormais de la sécurité sociale. Elle a déclaré qu’elle ne pouvait pas se voir imposer sa sécurité sociale, car c’était tout ce dont elle disposait pour vivre. L'avocate a examiné le compte de la contribuable et a découvert que l'entreprise de son mari était constituée en société et qu'elle n'était pas responsable des charges sociales.
L'avocat du dossier a contacté la division de recouvrement de l'IRS et a décrit le problème du contribuable. La contribuable pensait que, parce que les avis de privilège étaient parvenus à son domicile, elle en était responsable. Le comptable de son mari lui a conseillé de payer tous les soldes de charges sociales dus par la société. Elle l’a fait jusqu’à ce qu’elle n’ait plus d’actifs à vendre ni d’argent à payer. TAS a travaillé avec l'IRS pour placer les comptes d'entreprise dans le statut Actuellement Non Recevable et a libéré le prélèvement sur ses prestations de sécurité sociale. L'avocate a assuré à la contribuable qu'elle n'était pas liée aux questions tributarios de la société. TAS a également sensibilisé la veuve en lui fournissant des informations sur la manière de gérer une société dissoute.