RÉPONSE DE L'IRS À LA RECOMMANDATION : Le système informatique utilisé pour appliquer les critères d'exclusion lors de l'identification d'un nouvel inventaire potentiel pour le programme PDC n'est pas en mesure d'accéder à des données fiables sur les destinataires SSDI. L'IRS a mis en place un processus manuel qui oblige la PCA à arrêter les efforts de recouvrement et à restituer un compte à l'IRS lorsque le contribuable déclare recevoir un SSDI ou un SSI. Au 25 janvier 2018, les PCA ont renvoyé 2,109 XNUMX comptes parce que le contribuable a déclaré avoir reçu un SSDI ou un SSI. Il n'est pas prévu de développer une méthode systémique pour programmer l'exclusion des bénéficiaires SSDI qui n'est pas requise par la loi et qui nécessiterait des ressources pour la programmation informatique.
ACTION CORRECTIVE: N/D
RÉPONSE DU TAS : L’approche décrite dans la réponse de l’IRS n’est pas un « processus », mais un résultat aléatoire déterminé selon qu’un contribuable, en parlant avec une PCA, communique volontairement l’information selon laquelle il reçoit un SSDI ou un SSI. L’IRS n’a pris aucune mesure pour répondre aux préoccupations soulevées par le National Taxpayer Advocate.
L'IRS déclare qu'au 25 janvier 2018, les PCA avaient renvoyé 2,109 2019 dossiers parce que le contribuable était bénéficiaire du SSDI ou du SSI. Comme indiqué dans le rapport sur les objectifs 29 du National Taxpayer Advocate, au 2018 mars 2,663, les PCA avaient renvoyé 25 29 dossiers parce que le contribuable était bénéficiaire du SSDI ou du SSI. Cela signifie que sur une période d'environ deux mois (du 2018 janvier au 554 mars 277), les PCA n'ont renvoyé que XNUMX cas à l'IRS parce que le contribuable était bénéficiaire du SSDI ou du SSI, soit une moyenne de XNUMX cas par mois.
Comme indiqué dans le rapport sur les objectifs du National Taxpayer Advocate, au cours de la période de six mois allant du 1er octobre au 29 mars 2018, l'IRS a attribué les dettes de 12,107 2,018 bénéficiaires SSDI uniquement (c'est-à-dire sans compter les dettes des bénéficiaires SSI), soit une moyenne de XNUMX XNUMX par mois.
La disparité entre le nombre de dossiers SSDI et SSI attribués et le nombre renvoyé indique que l'approche actuelle consistant à s'appuyer sur les PCA pour savoir que les contribuables reçoivent le SSDI ou le SSI, puis renvoyer le dossier, ne semble pas efficace pour empêcher les PCA de tenter à percevoir auprès de ces contribuables vulnérables.
Quoi qu'il en soit, lorsqu'il existe des méthodes permettant d'identifier systématiquement les bénéficiaires des prestations SSDI ou SSI, il est profondément négligent de la part de l'IRS de permettre de déterminer si un dossier est renvoyé à l'IRS en fonction de la question de savoir si un contribuable, en parlant avec un salarié du PCA, il lui arrive de mentionner qu'il perçoit des prestations SSDI ou SSI. Les bénéficiaires SSDI et SSI font partie des contribuables les plus vulnérables avec lesquels l'IRS traite. Ils peuvent craindre que la contestation d’une PCA n’entraîne des prélèvements sur leurs prestations ou leur perte, et acceptent donc des montants qu’ils ne peuvent pas se permettre de payer. C’est en fait ce que montrent les données discutées dans le rapport annuel 2017 au Congrès. De plus, c'est une abdication des responsabilités de surveillance de l'IRS que de s'appuyer sur les PCA pour rembourser les dettes de ces contribuables, ce qui obligerait la PCA à renoncer à une éventuelle commission sur un paiement. L’IRS peut et doit systématiquement empêcher que les dettes des contribuables SSDI soient attribuées aux PCA et devrait travailler avec la SSA pour identifier les dettes des contribuables qui reçoivent le SSI.
ADOPTÉ, PARTIELLEMENT ADOPTÉ ou NON ADOPTÉ : Non adopté
OUVERT ou FERMÉ : Fermé
DATE D'ÉCHÉANCE POUR L'ACTION (si laissée ouverte) : N/D