RÉPONSE DE L'IRS À LA RECOMMANDATION : IRC §§ 7431, 7213 et 7213A sont des dispositions statutaires établissant des sanctions civiles et pénales en cas de divulgation non autorisée de retours et d'informations sur les retours. L'IRS n'a pas le pouvoir d'étendre ces dispositions aux divulgations faites dans le cadre des procédures administratives des lanceurs d'alerte en vertu de l'IRC § 7623. De plus, la majorité des réclamations des lanceurs d'alerte sont rejetées ou refusées dans les deux premières années suivant leur soumission. Exiger l'exécution et le traitement des accords de confidentialité lors de la soumission d'un formulaire 211 et administrer le respect des exigences de protection de l'IRC § 6103(p) augmenterait considérablement la charge du bureau de dénonciation.
L'IRS est d'accord avec la recommandation législative de la NTA visant à soumettre les divulgations non autorisées d'informations renvoyées par les lanceurs d'alerte à des sanctions civiles et pénales en vertu des IRC §§ 7431, 7213 et 7213A et à étendre les exigences de protection de l'IRC § 6103(p) aux lanceurs d'alerte. Le Trésor a fait des recommandations similaires dans le cadre des propositions de recettes de l'administration pour les exercices 2014-2017.
ACTION CORRECTIVE: N/D
RÉPONSE DU TAS : L'IRS n'explique pas pourquoi il n'a pas le pouvoir de réviser les réglementations pour soumettre les lanceurs d'alerte aux sanctions légales et aux exigences de protection, mais déclare qu'il n'est pas d'accord que ces dispositions statutaires devraient être activées lors de l'exécution des accords de confidentialité soumis avec le formulaire 211. L'IRS semble On ne peut pas s'inquiéter d'une charge administrative supplémentaire, mais il n'est pas clair dans quelle mesure le simple fait d'exiger et d'accepter un formulaire supplémentaire de la part des lanceurs d'alerte crée une charge significativement plus lourde. Les informations que l'IRS fournirait conformément à l'accord pourraient être décidées au cas par cas, en fonction du stade auquel se trouve l'affaire. Ainsi, tous les accords de confidentialité n'exigeraient pas le même niveau d'attention administrative ou d'application. De plus, comme le souligne l’IRS, depuis 2007, les informations reçues par l’IRS de la part des lanceurs d’alerte ont permis de collecter plus de 3 milliards de dollars de recettes tributarios supplémentaires. Des communications plus fréquentes et plus détaillées entre les lanceurs d’alerte et l’IRS, permises par un accord de confidentialité, entraîneraient une amélioration de la qualité des déclarations des lanceurs d’alerte, à mesure que les lanceurs d’alerte et leurs avocats apprendraient quels types d’informations l’IRS juge utiles et comment ces informations sont présentées au mieux. De meilleures soumissions entraîneraient encore plus de collectes sur la base des informations des lanceurs d’alerte. Il n’est donc pas clair que les coûts administratifs supplémentaires liés à l’exigence d’accords de confidentialité l’emporteraient sur les avantages de l’adoption de cette recommandation.
ADOPTÉ, PARTIELLEMENT ADOPTÉ ou NON ADOPTÉ : Non adopté
OUVERT ou FERMÉ : Fermé
DATE D'ÉCHÉANCE POUR L'ACTION (si laissée ouverte) : N/D